A PROPOS DE GBV WESTAFRICA EXPOSED

Ces témoignages de réfugié(e)s, déplacé(e)s internes et autres personnes relevant du Mandat du UNHCR ont été collectés avec leur consentement éclairé. Survivant(e)s de différentes formes de VBG, dans la région d’Afrique de l’Ouest et du Centre, leurs prénoms ainsi que leur pays d’origine ont été modifiés. Les photos sont illustratives.

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Ecoutez leurs témoignages

Plateforme de sensibilisation et engagement communautaire autour des Violences Basées sur le Genre (VBG)

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Plateforme de sensibilisation et D’engagement

communautaire autour des VIOLENCES BASÉES SUR LE GENRE (VBG)

#16jours #AfriqueOuest&Centrale #VBG

La violence basée sur le genre est une violation des Droits Humains. Elle prive l’individu de sa dignité humaine et elle est préjudiciable au développement humain.

Terme générique décrivant les actes préjudiciables commis contre le gré de quelqu’un en se fondant sur les différences établies par la société entre les hommes et les femmes (le genre).
La violence basée sur le genre (VBG) s’entend comme englobant, sans y être limitée, tous les actes de violence causant un préjudice ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, y compris la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit dans la vie publique ou dans la vie privée » (définition que donne le Comité permanent interorganisations de la violence basée sur le genre). En savoir plus
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En partageant ces témoignages, nous souhaitons faire entendre la voix de ces femmes et hommes survivant(e)(s) de violences basées sur le genre.

Ces violences peuvent avoir lieu à la maison, dans la rue, à l’école, au travail et dans les camps de réfugiés ou sites de déplacés internes, lors des conflits et des crises. En connaissant mieux leurs droits, les aides existantes et les recours possibles face aux VBG, les hommes et femmes sont mieux préparé(e)(s) pour affronter ces situations.

Parce que se taire, c’est aussi être complice. Brisons le silence et luttons ensemble contre les VBG.

La région de l’Afrique de l’Ouest et du Centre compte parmi les régions d’Afrique et du monde les plus touchées par les conflits armés et les conflits connexes. Fin 2021, on comptait 10,7 millions de personnes relevant de la compétence du HCR en Afrique de l’Ouest et du Centre, soit une augmentation de plus de 1,1 million en un an, dont 900 000 nouveaux déplacés internes. Dans ce contexte instable, les femmes et les filles sont exposées à un risque élevé de violence basée sur le genre (VBG), y compris d’abus sexuels et d’exploitation par des travailleurs humanitaires.
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Dans le monde, 35% des femmes ont subi au moins une fois des violences physiques et/ou sexuelles de la part d’un partenaire intime, ou bien des violences sexuelles de la part d’une autre personne. Ce chiffre ne tient pas compte du harcèlement sexuel.

Trop de femmes et jeunes filles subissent, sous le regard parfois complice des membres de leur famille, des violences basées sur le genre. Parmi les voix qui s’élèvent contre ces violences, certaines ont fait de la lutte contre les VBG leur combat.