Ces témoignages de réfugié(e)s, déplacé(e)s internes et autres personnes relevant du Mandat du UNHCR ont été collectés avec leur consentement éclairé. Survivant(e)s de différentes formes de VBG, dans la région d’Afrique de l’Ouest et du Centre, leurs prénoms ainsi que leur pays d’origine ont été modifiés. Les photos sont illustratives.
En Afrique de l’Ouest & du Centre, la COVID-19 a augmenté le risque de violence liée au genre parmi les populations déplacées, en particulier pour les femmes et les filles qui sont exposées à un risque encore plus élevé de violence domestique. Il s’agit d’une urgence venue s’ajouter à d’autres urgences déjà existantes.
En ligne avec la Campagne « Orangeons le monde », avec le Groupe régional genre et la GBV AOR, nous pensons qu’il est essentiel de mettre en place des programmes autonomes de lutte contre la violence basée sur le genre, et d’avantage d’aide financière et de moyens de subsistance qui tiennent compte des différences entre les sexes et de la VBG.
Nous devons faire mieux, tous ensemble.
Car chacune, chacun a le droit de vivre à l’abri de la violence.
Discours de Milicent Mutuli, UNHCR, Directrice du Bureau Regional pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, dans le cadre de la campagne globale des 16 jours d’activisme contre les Violences Basées sur le Genre.
A PROPOS DE GBV WEST & CENTRAL AFRICA EXPOSED
Face aux violences basées sur le genre, des voix s’élèvent et ont fait de la lutte contre les VBG leur combat. Grâce à leur engagement, ces personnes changent les choses et font bouger les lignes.
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