Mon souhait est que les organisations humanitaires et avec les associations de la société civile continue à renforcer les capacités de l’Etat pour la mise en application des décisions de la justice qui pourra soulager les survivantes et surtout dissuader d’autres circonstances de violences. Mon désir c’est de voir ces survivantes de violences basées sur le genre dans des circonstances beaucoup plus radieuses (cheffes d’entreprise, commerçantes,) pour montrer qu’être victime de violence n’est pas une fin en soit mais avec un accompagnement on peut se relever. »